Une fois de plus France2 fait péter le score au grand concours du journaliste le plus minable du monde et cette fois c'est Nathanaël de Rincquesen qui s'y colle en nous faisant un compte-rendu approximatif d'un papier de Libé sur la cyberdépendance. C'est beau comme du Mireille Dumas mais ce qui rend ce passage de TéléMatin particulièrement marquant c'est la façon toute personnelle dont Nath nous prononce le mot MMORPG, démontrant par la même la rigueur et la profondeur de son investissement journalistique dans cette magnifique chronique.
Ce qui est marrant avec cette affaire, c'est que la scène est tellement ridicule qu'au lieu de provoquer une levée de bouclier des gamers devant tant de condescendance et de sensationnalisme, France2 a dû faire face à bien pire puisque "Meuporg" est devenu presque immédiatement un mème qui s'est répandu comme une trainée de poudre depuis la diffusion de l'émission, achevant de décridibiliser cette piètre tentative de journalisme en en faisant la risée du Net . ROFLMAO comme on dit...
Ce qui est marrant avec cette affaire, c'est que la scène est tellement ridicule qu'au lieu de provoquer une levée de bouclier des gamers devant tant de condescendance et de sensationnalisme, France2 a dû faire face à bien pire puisque "Meuporg" est devenu presque immédiatement un mème qui s'est répandu comme une trainée de poudre depuis la diffusion de l'émission, achevant de décridibiliser cette piètre tentative de journalisme en en faisant la risée du Net . ROFLMAO comme on dit...

Un détenu de Nancy, surnommé «l'incroyable Hulk» pour sa force et sa violence phénoménales, est parvenu mardi à atteindre le bureau des surveillants, après avoir arraché un lampadaire, brisé un volet métallique puis défoncé une vitre à coups d'extincteur, a-t-on appris de source syndicale.Le détenu a d'abord arraché le lampadaire de la cour de promenade de la prison de Nancy, puis il a cassé la fenêtre donnant sur la coursive. Il s'est ensuite attaqué au volet métallique de sécurité pour pénétrer dans la coursive. «L'individu s'est ensuite saisi d'un extincteur afin de briser la vitre d'un bureau dans lequel il a fini par s'asseoir, se rouler une cigarette et attendre qu'on vienne l'y cueillir», explique Bernard Cabon, secrétaire général adjoint de l'Union fédérale autonome pénitentiaire (UFAP) du Grand Est.Surnommé «l'incroyable Hulk» par les personnels pénitentiaires, en référence au personnage de la série américaine doté d'une force herculéenne, le détenu avait déjà entièrement détruit sa cellule à la maison d'arrêt d'Epinal (Vosges) le 6 octobre dernier. «Il avait à l'époque arraché une fenêtre, une grille, descellé les barreaux et cassé une tablette en béton», rappelle Bernard Cabon.Il avait alors fallu plus de trois heures pour que les équipes régionales d'intervention et de sécurisation puissent maîtriser le forcené qui a été transféré vers le centre pénitentiaire de Metz, a indiqué le syndicaliste.
